Cybermois 2024 : 10 mesures essentielles pour assurer votre cybersécurité

Cybermois 2024 : 10 mesures essentielles pour assurer votre cybersécurité

Cybermois 2024 : 10 mesures essentielles pour assurer votre cybersécurité

L’utilisation des outils numériques dans le cadre professionnel ne cesse de croître et de se diversifier. Ordinateurs de bureau ou portables, téléphones mobiles, tablettes, objets connectés… Ils font de plus en plus partie de votre quotidien. Cette intensification des usages représente pour les cybercriminels une opportunité de développer leurs attaques. Comment se protéger au mieux face à ces risques ? Voici 10 bonnes pratiques essentielles à adopter pour assurer votre cybersécurité.

 

1. Protégez vos accès avec des mots de passe solides

Utilisez des mots de passe suffisamment longs (entre 8 et 12 caractères), complexes (majuscules + minuscules + caractères spéciaux) et différents pour tous les équipements et services auxquels vous accédez. N’utilisez aucune information liée à votre identité. La majorité des attaques est souvent due à des mots de passe trop simples ou réutilisés. Au moindre doute, ou même régulièrement en prévention, changez-les ! Utilisez un gestionnaire de mots de passe et activez la double authentification chaque fois que c’est possible pour renforcer votre sécurité.

2. Sauvegardez vos données régulièrement

En cas de piratage, mais également en cas de panne, de vol ou de perte de votre appareil, la sauvegarde est souvent le seul moyen de retrouver vos données (photos, fichiers, contacts, messages…). Sauvegardez régulièrement les données de vos PC, téléphones portables, tablettes et conservez toujours une copie de vos sauvegardes sur un support externe à votre équipement (clé ou disque USB) que vous débranchez une fois la sauvegarde effectuée.

3. Appliquez les mises à jour de sécurité sur tous vos appareils et ce, dès qu’elles vous sont proposées

Vous corrigez ainsi les failles de sécurité qui pourraient être utilisées par des pirates pour s’introduire dans vos appareils, pour y dérober vos informations personnelles ou vos mots de passe, voire pour détruire vos données ou encore vous espionner.

4. Utilisez un antivirus

Les antivirus permettent de se protéger d’une grande majorité d’attaques et de virus connus. Il existe de nombreuses solutions gratuites ou payantes selon vos usages et le niveau de protection ou de services recherchés. Vérifiez régulièrement que les antivirus de vos équipements sont bien à jour et faites des analyses (scans) approfondies pour vérifier que vous n’avez pas été infecté.

5.Téléchargez vos applications uniquement sur les sites officiels

N’installez des applications que depuis les sites ou magasins officiels des éditeurs (exemple : Apple App Store, Google Play Store) pour limiter les risques d’installation d’une application piégée pour pirater vos équipements. De même, évitez les sites Internet suspects ou frauduleux (téléchargement, vidéo, streaming illégaux) qui pourraient également installer un virus sur vos matériels.

6. Méfiez-vous des messages inattendus

En cas de réception d’un message inattendu ou alarmiste par messagerie (email), SMS ou chat, demandez toujours confirmation à l’émetteur par un autre moyen s’il vous semble connu et légitime. Il peut en effet s’agir d’une attaque par hameçonnage (phishing) visant à vous piéger pour vous dérober des informations confidentielles (mots de passe, informations d’identité ou bancaires), de l’envoi d’un virus contenu dans une pièce-jointe qu’on vous incite à ouvrir, ou d’un lien qui vous attirerait sur un site malveillant.

7. Vérifiez les sites sur lesquels vous faites des achats

Si le commerce en ligne facilite les achats et offre l’opportunité de faire de bonnes affaires, il existe malheureusement de nombreux sites de vente douteux, voire malveillants. Avant d’acheter sur Internet, vérifiez que vous n’êtes pas sur une copie frauduleuse d’un site officiel, la crédibilité de l’offre et consultez les avis. Sans cette vérification, vous prenez le risque de vous faire dérober votre numéro de carte bancaire et de ne jamais recevoir votre commande, voire de recevoir une contrefaçon ou un produit dangereux.

8. Maîtrisez vos réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont de formidables outils de communication et d’information collaboratifs. Ils contiennent toutefois souvent de nombreuses informations personnelles qui ne doivent pas tomber dans de mauvaises mains. Sécurisez l’accès à vos réseaux sociaux avec un mot de passe solide et unique, définissez les autorisations sur vos informations et publications pour qu’elles ne soient pas inconsidérément publiques ou utilisées pour vous nuire, ne relayez pas d’informations non vérifiées (fake news) (Voir notre fiche sur les réseaux sociaux).

9. Séparez vos usages personnels et professionnels

Avec l’accroissement des usages numériques, la frontière entre utilisation personnelle et professionnelle est souvent ténue. Ces utilisations peuvent même parfois s’imbriquer. Matériels, messageries, « clouds »… Il est important de séparer vos usages afin que le piratage d’un accès personnel ne puisse pas nuire à votre entreprise, ou inversement, que la compromission de votre entreprise ne puisse pas avoir d’impact sur la sécurité de vos données personnelles.

10. Évitez les réseaux WiFi publics ou inconnus

En mobilité, privilégiez la connexion de votre abonnement téléphonique (3G ou 4G) aux réseaux WiFi publics. Ces réseaux WiFi sont souvent mal sécurisés, et peuvent être contrôlés ou usurpés par des pirates qui pourraient ainsi voir passer et capturer vos informations personnelles ou confidentielles (mots de passe, numéro de carte bancaire…). Si vous n’avez d’autre choix que d’utiliser un WiFi public, veillez à ne jamais y réaliser d’opérations sensibles et utilisez si possible un réseau privé virtuel (VPN).

Pour aller plus loin : nous vous encourageons à sensibiliser vos collaborateurs en mettant à disposition cette fiche pratique sur votre espace d’affichage obligatoire.

Sources : © Cybermalveillance.Gouv 2024 – Retrouvez d’autres d’actualités sur le blog de l’Atwo Conseil !

Cybermois 2024 : La cybersécurité c’est l’affaire de tous !

Cybermois 2024 : La cybersécurité c’est l’affaire de tous !

Cybermois 2024 : La cybersécurité c’est l’affaire de tous !

La cybersécurité est l’affaire de tous ! Dans le cadre du Cybermoi/s 2024, nous vous invitons à vous mobiliser et à prendre part à une action citoyenne d’ampleur nationale en relayant la campagne « Fausse Bonne Idée ».

Le 2 octobre 2024 a marqué la journée de lancement officiel de la douzième édition du Cybermoi/s à l’Assemblée nationale, membre de Cybermalveillance.gouv.fr.

Créé en 2012 , le Mois européen de la cybersécurité (European Cybersecurity Month – ECSM) est une initiative conçue par l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (ENISA). Elle vise à promouvoir le sujet de la cybersécurité à travers les pays de l’UE pour permettre de mieux comprendre les menaces et les appréhender.

En France, le Mois européen de la cybersécurité a été décliné en « Cybermoi/s » et est piloté par Cybermalveillance.gouv.fr

Tout au long du mois d’octobre 2024, des activités vont être organisées en France et en Europe autour des enjeux de cybersécurité : événement de lancement, événements de sensibilisation, campagnes vidéo… Comme chaque année, un panel d’acteurs publics, privés et associatifs se mobiliseront pour proposer un programme de sensibilisation pédagogique à destination de tous les publics et ainsi développer une culture européenne cyber commune.

 

Rejoignez le mouvement #CyberEngagés avec la campagne « Fausse Bonne Idée »

Le principe ? Poster un conseil cyber illustré sur vos réseaux sociaux accompagné du hashtag #CyberEngagés pour mobiliser le plus grand nombre d’internautes autour de l’enjeu sociétal qu’est la cybersécurité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sources : © Cybermalveillance.Gouv 2024 – Retrouvez d’autres d’actualités sur le blog de l’Atwo Conseil !

Transformation numérique : où en sont les TPE/PME en 2024 ?

Transformation numérique : où en sont les TPE/PME en 2024 ?

Transformation numérique : France Num sort son baromètre 2024, où en sont les TPE/PME ?

Le dispositif France Num a pour objectif d’accompagner la transformation numérique des TPE et PME. Depuis sa 1ère édition, le baromètre France Num interroge un échantillon significatif de TPE et PME françaises pour mieux cerner leur perception et leurs usages du numérique. Voici les résultats de l’édition 2024 du baromètre annuel.

TPE/PME : une confiance en hausse dans le numérique

10 125 entreprises ont été sondées pour ce baromètre.

Alors qu’elle s’érodait sensiblement en 2023, la confiance des dirigeants de TPE et PME dans le numérique repart à la hausse. Ils sont 79 % (+3 points) à penser que le numérique apporte des bénéfices réels. Plus l’entreprise est grande plus cette conviction est forte : ce taux s’élève à 85 % pour les PME.

Ces dirigeants voient le numérique comme un outil précieux pour :

  1. augmenter leur chiffre d’affaires,
  2. optimiser leur fonctionnement,
  3. améliorer leur rentabilité.

De fait, 42 % considèrent que le numérique permet de gagner de l’argent, contre 39 % en 2023. Les effets d’une visibilité en ligne renforcent cette conviction. En effet, plus d’une entreprise sur deux déclare qu’au moins 5 % de sa clientèle provient d’internet (+5 points depuis 2023).

 

 

Vers une professionnalisation de l’accompagnement à la transformation numérique des TPE/PME

L’édition 2024 du baromètre permet de constater une professionnalisation de l’accompagnement à la transformation numérique des TPE et PME. En effet, 39 % des dirigeants font confiance à leurs réseaux professionnels (prestataires) pour être conseillés (+3 points) et 13 % au réseau France Num (+1 point).

Cette professionnalisation s’accompagne également d’un recours important à des solutions de cybersécurité.

La crainte du piratage des données continue de progresser en dépit de mesures de protection qui se développent. En 2024, quasiment un dirigeant sur deux (49 %) exprime des inquiétudes à ce sujet. Une proportion en hausse depuis 2020.

Face à cette montée des préoccupations, 81 % d’entre eux disposent d’une solution de cybersécurité, dont 96 % d’un antivirus, 81 % d’une sauvegarde de données à l’extérieur (y compris le cloud) et 57 % des mesures et solutions de protection des locaux et des matériels.

 

Un baromètre enrichi grâce à de nouveaux enjeux majeurs

Depuis 2023, le baromètre intègre deux nouveaux enjeux majeurs dans l’élaboration des politiques publiques en faveur de la numérisation des entreprises :

  1. l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) et des données,
  2. la prise en compte de l’impact environnemental des usages numériques.

13 % des entreprises sondées utilisent les outils d’intelligence artificielle, notamment de génération de texte, voix ou image. Cette proportion varie fortement selon les secteurs : 40 % y ont recours dans le secteur du numérique, tandis que seulement 4 % utilisent l’IA dans l’agriculture.

En parallèle, l’importance accordée par les entreprises aux questions de sobriété numérique semble nettement progresser. Dans une démarche de sobriété, le recyclage des équipements numériques (53 %) et l’achat de matériel reconditionné (28 %) sont les mesures plus citées.

Consultez l’intégralité du baromètre France Num 2024 en cliquant-ici.

Sources : © Economie.Gouv 2024 – Retrouvez d’autres d’actualités sur le blog de l’Atwo Conseil !

Comment obtenir la prime d’activité en tant que travailleur indépendant ?

Comment obtenir la prime d’activité en tant que travailleur indépendant ?

Comment obtenir la prime d’activité en tant que travailleur indépendant ?

La prime d’activité vise à compléter les revenus des travailleurs modestes. Mais contrairement aux idées reçues, elle n’est pas uniquement réservée aux salariés. Ainsi, quelles sont les conditions pour obtenir la prime d’activité si vous êtes travailleur indépendant ? On vous explique.

Les critères pour être éligible à la prime d’activité

Pour bénéficier de la prime d’activité, plusieurs critères sont à respecter :

  • Avoir plus de 18 ans,
  • Habiter en France (au moins 9 mois dans l’année),
  • Avoir une activité professionnelle,
  • Être français, ou citoyen de l’Espace Economique Européen, ou Suisse, ou avoir un titre de séjour en cours de validité depuis 5 ans minimum vous autorisant à travailler.

Bon à savoir : Pour les indépendants aux faibles ressources, une autre aide existe : l’ATI, ou Allocation des travailleurs indépendants.

 

Le montant de la prime d’activité : quel calcul pour les indépendants ?

Le montant de la Prime d’activité est calculé de manière automatique et personnalisée sur la base d’une déclaration trimestrielle de votre situation et des ressources. Aussi, ce montant est calculé en fonction des critères suivants :

  • Le total de vos revenus ainsi que ceux de tous les membres de votre foyer à votre charge, incluant les prestations versées par la CAF (Caisse d’allocations familiales),
  • La composition spécifique de votre foyer.

Pour les travailleurs indépendants, le calcul des droits à la prime d’activité s’effectue sur la base des ressources suivantes :

  • Les bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou non commerciaux (BNC) déclarés aux services fiscaux pour la dernière année fiscale connue,
  • En l’absence de déclaration de BIC ou BNC, le chiffre d’affaires du trimestre.

 

Le droit d’option des travailleurs indépendants

Les travailleurs indépendants peuvent, sous certaines conditions, bénéficier d’un calcul du droit à la prime d’activité, basé sur le chiffre d’affaires trimestriel, contrairement aux règles habituelles liées aux revenus BIC/BNC de la dernière année fiscale. C’est ce qu’on appelle le « régime dérogatoire ».

Pour bénéficier de ce droit d’option, les travailleurs indépendants doivent remplir deux conditions :

  • Le montant de recettes ou de chiffre d’affaires doit être inférieur ou égal aux plafonds de chiffres d’affaires des 12 derniers mois indiqués par la CAF,
  • Et, le montant des recettes ou du chiffre d’affaires déclaré dans la Déclaration Trimestrielle de Ressources (DTR) doit également être inférieur ou égal aux plafonds spécifiés par la CAF.

Le calcul est donc effectué en se basant sur le chiffre d’affaires ou les revenus disponibles après l’application de l’abattement suivant :

  • 71% pour la vente de marchandises,
  • 34% pour les professions libérales et artisans auteurs,
  • 50% pour les prestations de services,
  • 87% pour les activités relevant du secteur agricole.

 

Quel est le montant de votre prime d’activité ?

Pour savoir quel est le montant que vous pouvez obtenir de votre prime d’activité, il existe des simulateurs.

Pour estimer votre droit à la prime d’activité si vous êtes artisan, en profession libérale ou encore dans la vente de marchandises, vous pouvez vous rendre sur le lien suivant : CAF – Connexion

Pour estimer votre droit à la prime d’activité si vous êtes exploitant agricole, vous pouvez vous rendre sur le lien suivant : MSA – Simulateurs MSA : complémentaire santé, IJ maladie, allocation de rentrée scolaire… – MSA_FR

Pour conclure, la prime d’activité offre un soutien financier aux travailleurs indépendants aux revenus modestes. Les démarches se font principalement en ligne. Pour en savoir plus, rapprochez-vous de la CAF (pour le régime général) ou de la MSA (pour le régime agricole).

 

Sources : © Compta France 2023 – Retrouvez d’autres d’actualités sur le blog de l’Atwo Conseil !

CSE, activités sociales et culturelles : un critère d’ancienneté impossible désormais…

CSE, activités sociales et culturelles : un critère d’ancienneté impossible désormais…

CSE, activités sociales et culturelles : un critère d’ancienneté impossible désormais…

Jusqu’alors, l’URSSAF tolérait l’exonération des activités sociales et culturelles des CSE, dont l’accès était conditionné à une ancienneté minimale des salariés pour en bénéficier. Mais le juge vient de rebattre les cartes. Pour quelle conséquence ?

Activités sociales et culturelles : un critère d’ancienneté impossible désormais…

Les Activités Sociales et Culturelles ou ASC du CSE regroupent les avantages offerts aux salariés visant à améliorer leur bien-être, à augmenter leur pouvoir d’achat et à favoriser l’accès à la culture. Le budget ASC permet donc aux CSE de financer ces activités sociales et culturelles.

Pour mémoire, ces ASC sont exonérées de cotisations sociales et prestations sociales sous réserve de respecter certaines conditions.

L’une d’elles concerne les critères d’attribution de ces prestations qui ne peuvent pas être fondées sur un motif discriminatoire. À ce titre, justement, et par principe, les ASC ne peuvent pas être conditionnées par une ancienneté minimale du salarié dans la structure.

Toutefois, et par dérogation, l’URSSAF tolérait que l’accès à ces ASC soit conditionné par une ancienneté maximale de 6 mois tout en étant exonérées de cotisations et contributions sociales. C’était sans compter le juge qui, en avril 2024, est venu prohiber cette possibilité.

Désormais, aucune exception : l’accès aux ASC ne pourra pas être conditionné à un quelconque critère d’attribution, et notamment d’ancienneté.

Les CSE ont jusqu’au 31 décembre 2025 pour modifier les critères de versement de ces ASC et pour se mettre en conformité avec cette nouvelle règle, susceptible de faire l’objet de contrôles ultérieurs.

 

Sources : © Weblex 2024 – Retrouvez d’autres d’actualités sur le blog de l’Atwo Conseil !

Les actualités sociales de la rentrée

Les actualités sociales de la rentrée

Réussissez votre rentrée, soyez à jour des actualités sociales

Que s’est-il passé pendant l’été ? Faisons le point avec les Editions Francis Lefebvre qui ont recensé ci-dessous les principales actualités sociales, présentées sous forme de tableaux thématiques :

Embauche

Emploi de travailleurs étrangers : les décrets nécessaires à la mise en œuvre de la loi immigration ont été publiés Décrets 2024-811 du 8-7-2024 et 2024-814 du 9-7-2024 Actualité du 25-7-2024
Préparation opérationnelle à l’emploi : le décret permettant la fusion des aides de France Travail au financement d’une formation d’un chômeur avant son embauche a été publié Décret 2024-561 du 18-6-2024 Actualité du 2-8-2024

 

Rupture du contrat

Assurance chômage : reconduction des règles actuelles jusqu’au 31 octobre 2024 Décret 2024-853 du 30-7-2024 et Arrêté TSSD2422735A du 22-8-2024 Actualité du 31-7-2024

 

Paie

Plusieurs nouveautés dans le BOSS :    
Les rubriques Apprentis et stagiaires sont opposables à compter du 1er septembre 2024 BOSS-Exo. Apprenti et BOSS-Exo. Stage Actualité du 14-6-2024
La rubrique Contributions à la formation professionnelle et à l’apprentissage sera opposable le 1er novembre 2024 et le chapitre consacré à ces contributions dans la rubrique Effectif sera opposable dès le 1er octobre 2024 BOSS-Contrib. FPA-10 s. et BOSS-Eff. 1500 s. Actualité du 23-7-2024

Les modalités d’application du dispositif de neutralisation des effets du franchissement de seuil pour le versement mobilité ont été précisées

La page d’accueil du site internet du BOSS a été modifiée pour préparer l’intégration de nouvelles rubriques

BOSS-Eff.-790 s.

Actualité BOSS du 31-7-2024

Actualité du 16-7-2024

Actualité du 1-8-2024

JO 2024 : l’assouplissement des conditions d’exonération des bons d’achat et cadeaux en nature attribués court jusqu’au 8 septembre 2024 Actualité Urssaf du 26-9-2024 Actualité du 26-9-2023
La deuxième période de répartition du solde de la taxe d’apprentissage via la plateforme SOLTéA démarre le 2 septembre et court jusqu’au 4 octobre 2024 soltéa.education.gouv.fr Actualité du 30-7-2024
ZFRR et ZRR : le point sur les exonérations de cotisations applicables depuis le 1er juillet 2024 Arrêtés TREB2414964A et TREB2416551A du 19-6-2024 ; BOSS-Exo. zonées-20 s. Actualité du 5-7-2024
BTP : la canicule désormais indemnisée par le régime chômage intempéries Décret 2024-630 du 28-6-2024 Actualité du 22-7-2024

Épargne salariale

Partage de la valeur :    
Les décrets d’application sont parus Décrets 2024-644 du 29-6-2024 et 2024-690 du 5-7-2024 Actualités des 1-7-2024 et  8-7-2024
Le partage des bénéfices dans les petites entreprises et dans l’ESS a été détaillé par l’administration QR min. trav. du 8-7-2024 Actualité du 19-7-2024

Durée du travail

JO 2024 : les dérogations temporaires au repos dominical s’appliquent jusqu’au 30 septembre 2024 Loi 2023-380 du 19-5-2023 art. 25 Actualité du 11-5-2023

Santé et sécurité au travail

Les modalités et conditions de la contre-visite médicale diligentée par l’employeur sont fixées Décret 2024-692 du 5-7-2024 Actualité du 10-7-2024
Licencier un salarié inapte pour refus de reclassement est abusif en cas de dispense de reclassement Cass. soc. 12-6-2024 n°22-18.138 F-D Actualité du 21-8-2024
Compte professionnel de prévention (C2 P) : les relevés de points seront envoyés en septembre et non en juin. Pour rappel, à compter du 1er septembre 2024, la demande pour financer une formation ou un projet de reconversion professionnelle s’effectue exclusivement en ligne sur un site internet dédié Actualité Ameli.fr du 14-6-2024 ; décret 2024-588 du 25-6-2024 Actualité du 26-6-2024

Représentation du personnel

Risque grave : les entretiens de l’expert avec des salariés ne requièrent pas l’accord de l’employeur Cass. soc. 10-7-2024 n° 22-21.082 FS-B Actualité du 6-8-2024
Un CSE peut agir en nullité d’un accord collectif violant ses droits propres, sous conditions Cass. soc. 10-7-2024 n° 22-19.675 FP-BR Actualité du 22-7-2024
Un syndicat peut agir en justice en cas de harcèlement moral lié au mandat Cass. soc. 10-7-2024 n° 22-22.803 FS-B Actualité du 12-8-2024
L’employeur d’un salarié protégé n’a pas à saisir l’inspection du travail dans le cas de l’arrivée du terme d’un CDD sans clause de renouvellement, sauf CDD saisonnier ou d’usage Cass. soc. 10-7-2024 n° 22-21.856 FS-B Actualité du 29-7-2024

Contrôle-contentieux

La réforme de la procédure civile d’appel entre en vigueur le 1er septembre 2024 Décret 2023-1391 du 29-12-2023

Travail indépendant

Les ordonnances nécessaires à la finalisation de la réforme de l’assiette des cotisations des travailleurs indépendants doivent être prises avant le 26 septembre 2024 Décret 2024-688 du 5-7 2024 Actualité du 12-7-2024

 

Statuts ou régimes particuliers

Intérimaires : le coût des accidents du travail aggravé pour l’entreprise utilisatrice Décret 2024-723 du 5-7-2024 Actualité du 17-7-2024
Le nombre d’heures de délégation indemnisables pour les représentants des organisations représentatives des travailleurs indépendants recourant aux plateformes de mise en relation qui participent aux conseils d’administration et aux conseils des acteurs de l’Autorité des relations sociales des plateformes d’emploi (Arpe) est relevé à 198 par an Décret 2024-586 du 24-6-2024

Sources : © Editions Francis Lefebvre 2024 – Retrouvez d’autres d’actualités sur le blog de l’Atwo Conseil !